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Jean Lacombe & Marie Charlotte Millet

Découvrez l’histoire de Jean Lacombe et de Marie Charlotte Millet, couple pionnier de la Nouvelle-France. Suivez leur parcours, de l’arrivée de Jean en 1670 jusqu’à l’établissement de leur famille à Pointe-aux-Trembles, sur l’île de Montréal. Transactions foncières, vie paroissiale, héritage familial : un récit détaillé pour les passionnés de généalogie et d’histoire du Québec.

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 Jean Lacombe & Marie Charlotte Millet

Du Périgord à Pointe-aux-Trembles : un héritage en Nouvelle-France

 

Jean Lacombe, fils d’Étienne Lacombe et de Marguerite Leroux (ou Roux), naît vers 1648 à Saint-Cybranet, dans l’ancienne province du Périgord, en France. Son acte de baptême n’a pas été retrouvé. [Bien qu’il soit appelé Jean Baptiste dans une minorité d’actes, il est habituellement connu sous le nom de Jean.]

Située à environ 130 kilomètres à l’est de Bordeaux, Saint-Cybranet est une commune rurale de l’actuel département de la Dordogne, qui compte aujourd’hui moins de 400 habitants.

Localisation de Saint-Cybranet en France (Mapcarta)

L’église Saint-Marc à Saint-Cybranet (photo de MOSSOT, Wikimedia Commons CC BY 3.0)


Arrivée en Nouvelle-France

Les détails de l’arrivée de Jean en Nouvelle-France demeurent inconnus. Il est peut-être soldat dans le régiment de Carignan-Salières envoyé au Canada en 1665. En 1675, Jean est cité comme résident du fort Saint-Louis (plus tard rebaptisé fort Chambly), ce qui laisse supposer un rôle militaire ou administratif. Son apparition l’année suivante comme parrain à Sorel — un autre poste militaire clé — appuie l’hypothèse qu’il est lié au réseau de défense colonial, peut-être en tant que soldat ou membre du personnel connexe. Cependant, aucun document ne l’identifie explicitement comme soldat, ce qui demeure incertain.

 

Le régiment de Carignan-Salières

Lorsque le roi Louis XIV accède au trône de France en 1661, la colonie de la Nouvelle-France, dans la vallée du Saint-Laurent, fait face à d’importants défis. Ses quelque 3 000 habitants sont constamment menacés par les Iroquois, en raison de leur sous-peuplement chronique. Louis XIV vise à protéger les intérêts économiques de la France dans le commerce des fourrures et à défendre ce poste en difficulté, assurant ainsi sa survie et sa croissance. Pendant l’été et l’automne de 1665, environ 1 200 à 1 300 soldats et 80 officiers du régiment de Carignan-Salières arrivent à Québec. Leur mission est de protéger les colons et d’éliminer la menace iroquoise au sud.

« Plans des forts faicts par le regiment Carignan Salieres sur la riviere de Richelieu dicte autrement des Iroquois en la Nouvelle France » (carte de François Le Mercier, Bibliothèque et Archives nationales du Québec)


La première mention de Jean dans les archives canadiennes remonte au 15 octobre 1673, lorsqu’il reçoit une concession de terre à Chambly, sur la côte dite de Montroyal, dans la seigneurie de Chambly. La parcelle mesure deux arpents de front sur quarante arpents de profondeur. Jean s’engage à payer un sol par arpent de front en rente, plus [illisible] minots de blé pour chaque arpent, et [illisible] en cens. Il ne sait pas signer le document.  

 

Concession de terre à Jean Lacombe en 1673 (FamilySearch)

 

Le 10 février 1675, Jean est nommé parrain de Jeanne Bénard à Boucherville. L’acte de baptême indique qu’il réside au fort Saint-Louis, tout comme les parents de Jeanne, Mathurin Bénard et Marguerite Viard.

Deux ans plus tard, le 22 juillet 1677, Jean fait rédiger par le notaire Bénigne Basset dit Deslauriers un acte de donation de tous ses biens meubles et immeubles à sa filleule Jeanne, en cas de décès. Jean est alors inscrit comme résident de Chambly.   

Jean ne reste pas longtemps à Chambly. Le 27 décembre 1677, il achète deux terres de Pierre Richaume et de Marthe Arnus sur l’île de Montréal, au lieu-dit Saint-François. Dans l’acte notarié, Jean est décrit comme serviteur domestique à Montréal.


Marie Charlotte Millet, fille de Nicolas Millet dit Bosseron et de Marie Catherine Lorion, est baptisée le 25 novembre 1662 dans la paroisse Notre-Dame de Montréal. Son parrain est Alexandre Berange [Béranger] et sa marraine, Charlotte Chauvin. [La date de naissance ne figure pas dans l’acte de baptême.] 

Le père de Marie Charlotte est maître-charpentier et soldat dans le 17e escadron de la milice de la Sainte-Famille de Montréal. Il arrive en Nouvelle-France en 1653 dans le cadre de la Grande Recrue. Sa mère est une fille à marier arrivée en Nouvelle-France en 1654.  

 

Baptême de Marie Charlotte Millet en 1662 (Généalogie Québec)

 

Mariage et famille

Jean Lacombe et Marie Charlotte Millet font rédiger leur contrat de mariage par le notaire Basset le 4 janvier 1678, chez Catherine Lorion à Montréal. Jean est inscrit comme habitant de la seigneurie de l’île de Montréal. Son père défunt est mentionné comme ancien laboureur. Le contrat est conforme aux normes de la Coutume de Paris. Jean accorde à sa future épouse un douaire préfix de 500 livres, c’est-à-dire la part de propriété que le mari réserve à sa femme au cas où elle lui survivrait. Il inclut également sa terre sur l’île de Montréal dans la communauté de biens. Les époux ne savent pas signer le contrat de mariage.

La Coutume de Paris régit la transmission des biens familiaux en Nouvelle-France. Qu’il y ait ou non un contrat de mariage, un couple est soumis à la « communauté de biens », c’est-à-dire que tous les biens acquis pendant le mariage font partie de la communauté. Au décès des parents, les biens de la communauté sont partagés à parts égales entre tous les enfants, qu’ils soient fils ou filles. Si l’un des conjoints décède, le conjoint survivant conserve la moitié des biens de la communauté, tandis que l’autre moitié est partagée entre les enfants. Au décès du conjoint survivant, sa part est également répartie à parts égales entre les enfants.

Jean et Marie Charlotte se marient quelques mois plus tard, le 20 juin 1678, à la paroisse Notre-Dame de Montréal. Jean est un habitant de 30 ans et Marie Charlotte a 15 ans. Parmi les témoins figurent Mathurin Lorion (grand-père de Marie Charlotte), Pierre Desautels dit Lapointe (son beau-père), Nicolas Millet (son frère), Antoine Regnaut [Renaud], Philippe Decarion dit Dufresnoy et Jean Gervaise, ancien marguillier.

 

Mariage de Jean et Marie Charlotte en 1678 (Généalogie Québec)

 

Le couple a au moins douze enfants :

  1. Marie Catherine (1681–1763)

  2. Jean Baptiste (1683-1732)

  3. Marie Madeleine (1685–1771)

  4. Marie Catherine (1687–1770)

  5. François (1690–1699)

  6. Françoise (1692–1708)

  7. Jean Baptiste (1696–1757)

  8. Geneviève Anne (1700–1736)

  9. [anonyme] (1702–1702)

  10. Marie Marguerite (1704–1779), jumelle

  11. Joseph (1704–1736), jumeau

  12. Pierre (1707–1750)

Jean et Marie Charlotte figurent dans le recensement de 1681 de la Nouvelle-France, vivant à Montréal avec leur fille Marie Catherine. Ils possèdent un fusil, deux bêtes à cornes et quatre arpents de terre « en valeur » (c’est-à-dire défrichée ou en culture). Marie Charlotte est inscrite sous le nom dit de son père, Beauseron.

Recensement de la Nouvelle-France en 1681 pour la famille Lacombe (Bibliothèque et Archives Canada)

« Villemarie dans l’isle de Montreal », 1685 (Bibliothèque nationale de France)


Transactions immobilières

Au cours de leur vie, Jean et Marie Charlotte sont impliqués dans de nombreuses transactions immobilières sur l’île de Montréal, répertoriées par différents notaires :

  • 1er avril 1686 : Jean reçoit une concession de terre du Séminaire Saint-Sulpice de Montréal, propriétaire et seigneur de l’île de Montréal, à la côte Sainte-Anne.

  • 27 juillet 1686 : Jean, habitant de la côte Sainte-Anne sur l’île de Montréal, et Nicolas Millet, charpentier (son beau-frère), effectuent un échange de terres situées à la côte Sainte-Anne et d’une terre située au lieu-dit lac Sainte-Anne, en retour d’une terre située en la censive du Séminaire de Saint-Sulpice de Montréal.

  • 4 mars 1693 : Jean, habitant du bourg de la Pointe-aux-Trembles sur l’île de Montréal, reçoit la concession d’un emplacement situé dans le bourg de la Pointe-aux-Trembles, sur le niveau de la rue Sainte-Anne, du Séminaire Saint-Sulpice de Montréal. 

  • 14 mai 1698 : Jean, habitant de la côte Sainte-Anne, demeurant à la Pointe-aux-Trembles sur l’île de Montréal, reçoit une autre concession de terre du Séminaire Saint-Sulpice de Montréal, à la côte Sainte-Anne.

Extrait d’un dessin de 1702 de l’île de Montréal, avec la côte Sainte-Anne en jaune (en haut à droite) (Bibliothèque et Archives nationales du Québec)

Image d’intelligence artificielle créée par l’auteure avec ChatGPT (juin 2025)

  • 21 juin 1700 : Jean et Marie Charlotte, de la Pointe-aux-Trembles en l’île de Montréal, vendent leurs prétentions sur une terre située en l’île de Montréal, à la côte Saint-Jean, à Jacques Millet, frère de Marie Charlotte.

  • 6 avril 1707 : Jean reçoit une concession de terre à la côte Saint-Léonard en l’île de Montréal, du Séminaire Saint-Sulpice de Montréal.

  • 5 mai 1709 : Jean et Marie Charlotte, de la Pointe-aux-Trembles en l’île de Montréal, vendent une terre située à la côte Saint-Léonard à Jacques Lebaye [Beique] dit Lafleur.

  • 5 mai 1709 : Jean, de la côte Saint-Léonard, achète à Laurent Archambault une terre située à la côte Saint-Léonard.

  • 18 mars 1713 : Jean et Marie Charlotte, de la Pointe-aux-Trembles, vendent un terrain situé dans le bourg de la Pointe-aux-Trembles au maître-forgeron Joseph Sénécal.

  • 23 mai 1714 : Jean, de la côte Saint-Léonard, reçoit une concession de terre à la côte Saint-Léonard en l’île de Montréal (du côté du nord-ouest de la commune) du Séminaire de Saint-Sulpice de Montréal.

  • 26 août 1716 : Jean, de la côte Saint-Léonard, reçoit une concession de terre à la côte Saint-Léonard en l’île de Montréal, du Séminaire Saint-Sulpice de Montréal.

  • 28 janvier 1718 : Jean, de la côte Saint-Léonard, achète une terre située à la côte de Saint-Joseph de la Rivière-des-Prairies en l’île de Montréal, du maçon Jean Baptiste Deguire dit Larose et de son épouse Marie Madeleine Coiteux.


Les dernières années de Jean

Le 31 mai 1719, Jean et Marie Charlotte demandent au notaire Michel-Laferté Lepailleur de rédiger un accord avec leur fils Jean-Baptiste et son épouse Marguerite Diel. Curieusement, l’acte est rédigé sous forme d’un engagement. Jean, que l’on dit âgé de plus de quatre-vingts ans (mais qui est probablement septuagénaire), déclare qu’il ne peut plus travailler ni faire valoir la terre qu’il possède, et qu’il a recours à des domestiques. Dans l’acte notarié, Jean vend à son fils une parcelle de terre d’un arpent de front sur quarante arpents de profondeur pour 2 000 livres. On suppose que Jean-Baptiste doit continuer à cultiver la terre [l’écriture du notaire est difficile à lire].

En 1728, Jean commence à mettre de l’ordre dans ses dernières affaires. Le 20 avril 1728, il dicte ses dernières volontés et son testament. Le document contient le langage habituel concernant ses souhaits en tant que « bon chrétien », avec des instructions pour que ses dettes soient payées en premier. Il souhaite que son corps soit enterré dans le cimetière paroissial de Pointe-aux-Trembles, où il réside. Il lègue 300 livres à la paroisse Saint-Enfant-Jésus de Pointe-aux-Trembles, demandant que des messes soient dites pour le repos de son âme.

Le 26 juillet 1728, deux autres actes sont rédigés :

  • Jean et Marie Charlotte divisent une terre à la Pointe-aux-Trembles entre leurs enfants et leurs gendres.

  • Jean-Baptiste Lacombe, fils de Jean et de Marie Charlotte, achète une partie de ladite terre de ses frères et sœurs.

Décès de Jean Lacombe

Jean Lacombe décède à l’âge d’environ 84 ans. Il est inhumé le 17 septembre 1732 dans le cimetière paroissial de Saint-Joseph, à Rivière-des-Prairies. [L’acte de sépulture indique par erreur qu’il avait « environ 95 ans ».]

Sépulture de Jean Lacombe en 1732 (Généalogie Québec)


Les dernières années de Marie Charlotte

Le nom de Marie Charlotte apparaît dans deux derniers documents notariés en 1748.  

  • 26 mars 1748 : Marie Charlotte, de la Pointe-aux-Trembles, vend ses droits sur une terre située à la rivière du Richelieu à Antoine Codér [Coderre ?].

  • 27 mars 1748 : Marie Charlotte, de la Pointe-aux-Trembles, donne des sommes d’argent à ses fils Jean-Baptiste et Pierre, et ses brus.

Décès de Marie Charlotte Millet

Marie Charlotte Millet décède à l’âge de 88 ans, le 15 mai 1751, chez son fils Jean-Baptiste. Elle est inhumée deux jours plus tard dans le cimetière paroissial de Saint-Enfant-Jésus, à Pointe-aux-Trembles. [L’acte de sépulture indique qu’elle avait « environ 87 ans ».]

Sépulture de Marie Charlotte Millet en 1751 (Généalogie Québec)


Un héritage durable en Nouvelle-France

Jean Lacombe et Marie Charlotte Millet incarnent la transition entre les premiers immigrants venus peupler la Nouvelle-France et l’émergence des familles établies dans la colonie. Arrivé dans les années 1670, Jean devient habitant sur l’île de Montréal, où il acquiert des terres, élève une famille nombreuse et participe activement à la vie économique et paroissiale. Marie Charlotte, née à Montréal d’un maître-charpentier et d’une fille à marier, appartient à la première génération de Canadiennes, ces enfants nés et élevés en sol colonial. Ensemble, Jean et Marie Charlotte naviguent les structures juridiques et sociales de la Nouvelle-France, et posent les bases d’un vaste réseau de descendants dont les racines remontent aux terres seigneuriales de Pointe-aux-Trembles.

 
 


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Bibliographie :

  • « Le LAFRANCE (Baptêmes, Mariages, Sépultures) » base de données et images numérisées, Généalogie Québec (https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/acte/2055 : consulté le 5 juin 2025), baptême de Jeanne Bernard, 10 fév. 1675, Boucherville (Ste-Famille).

  • Ibid. (https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/acte/39700 : consulté le 5 juin 2025), baptême de Marie Charlotte Millet, 25 nov. 1662, Montréal (Notre-Dame-de-Montréal).

  • Ibid. (https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/acte/47431 : consulté le 5 juin 2025), mariage de Jean Lacombes et Marie Charlotte Millet, 20 juin 1678, Montréal (Notre-Dame-de-Montréal).

  • Ibid. (https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/acte/113750 : consulté le 5 juin 2025), sépulture de Jean Baptiste Lacombe, 17 sept. 1732, Montréal, Rivière-des-Prairies (St-Joseph). 

  • Ibid. (https://www.genealogiequebec.com/Membership/LAFRANCE/acte/271201 : consulté le 5 juin 2025), sépulture de Marie Charles Millet, 17 mai 1751, Montréal, Pointe-aux-Trembles (St-Enfant-Jésus). 

  • « Recensement du Canada fait par l'intendant Du Chesneau », images numérisées, Bibliothèque et Archives Canada (https://www.bac-lac.gc.ca/eng/CollectionSearch/Pages/record.aspx?app=fonandcol&IdNumber=2318858&new=-8585855146497784530 : consulté le 5 juin 2025), ménage de Jean Lacomble, 14 nov. 1681, Montréal, page 132 (du PDF), instrument de recherche MSS0446, MIKAN 2318858 ; citant les données originales : Centre des archives d'outre-mer (France) vol. 460.

  • « Actes de notaire, 1668-1714 // Antoine Adhémar », images numérisées, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3Q9M-CSTS-691D-6?cat=541271&i=2429&lang=en : consulté le 5 juin 2025), concession de terre à Jean Lacombe, 15 oct. 1673 ; citant les données originales : Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

  • « Actes de notaire, 1657-1699 // Bénigne Basset », images numérisées, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3Q9M-CST7-2WFF-N?cat=426906&i=545&lang=en : consulté le 5 juin 2025), contrat de mariage de Jean Lacombe et Marie Charlotte Milet, 4 janv. 1678 ; citant les données originales : Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

  • « Actes de notaire, 1701-1732 // Michel-Laferté Lepailleur », images numérisées, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3Q9M-C344-9SBF-8?cat=538127&i=667&lang=en : consulté le 5 juin 2025), engagement de Jean Baptiste Lacombe à Jean Lacombe et Marie Millet, 31 mai 1719 ; citant les données originales : Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

  •  « Actes de notaire, 1704-1731 // Nicolas Senet », images numérisées, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3Q9M-CSTW-D79Z-W?cat=529332&i=1794&lang=en : consulté le 5 juin 2025), testament de Jean Lacombe, 20 avr. 1728 ; citant les données originales : Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

  • Parchemin, banque de données notariales du Québec ancien (1626-1801), Société de recherche historique Archiv-Histo (https://archiv-histo.com : consulté le 5 juin 2025), « Donation en cas de mort de biens meubles et immeubles; par Jean Lacombe, de la seigneurie de Chambly, à Jeanne Besnard, sa filleule absente, à ce présent stipulant et acceptant pour elle Mathurin Besnard, de la seigneurie de Chambly, son père », 22 juil. 1677, notaire B. Basset dit Deslauriers.

  • Ibid., « Vente de deux terres situées en l'île de Montréal au lieudit St François; par Pierre Richome, habitant et Marthe Arnus, son épouse, de la seigneurie de Repentigny, à Jean Lacombe, serviteur domestique, de Montreal », 27 déc. 1677, notaire B. Basset dit Deslauriers.

  • Ibid. « Concession de terre située au lieudit la côte Ste Anne en l'île de Montréal; par le Séminaire de St-Sulpice de Montréal, procureur du Séminaire de St-Sulpice de Paris, seigneur et propriétaire de l'île de Montréal, à Jean Lacombe », 1 avr. 1686, notaire C. Maugue.

  • Ibid., « Echange de terres situées en la côte Sainte Anne et d'une terre située au lieudit le lac Sainte Anne en retour d'une terre située en la censive du Séminaire de St Sulpice de Montréal entre Nicolas Millet, charpentier, de la côte Sainte Anne; et Jean Lacombe, habitant, de la côte Sainte Anne en l'île de Montréal », 27 juil. 1686, notaire H. Bourgine.

  • Ibid., « Concession d'un emplacement situé dans le bourg de la Pointe au Tremble sur le niveau de la rue Ste Anne; par le Séminaire de St-Sulpice de Montréal, à Jean Lacombe, habitant, du bourg de la Pointe aux Trembles en l'île de Montréal », 4 mars 1693, notaire A. Adhémar de Saint-Martin.

  • Ibid., « Concession de terre située à la côte Ste Anne en l'île de Montréal; par le Séminaire de St-Sulpice de Montréal, procureur du Séminaire de St-Sulpice de Paris, seigneur et propriétaire de l'île de Montréal, à Jean Lacombe, habitant de la côte Ste-Anne, demeurant à la Pointe aux Trembles en l'île de Montréal », 14 mai 1698, notaire A. Adhémar de Saint-Martin.

  • Ibid., « Vente de prétentions dans une terre située en l'île de Montréal à la côte St Jean; par Jean Lacombe et Marie Milhet, son épouse, de la Pointe aux Trembles en l'île de Montréal, à Jacques Milhet, de la côte St Martin en l'île de Montréal, frère de ladite Milhet », 21 juin 1700, notaire A. Adhémar de Saint-Martin.

  • Ibid., « Concession d'une terre située à la côte St Leonard en l'île de Montréal; par le Séminaire de St-Sulpice de Montréal, procureur du Séminaire de St-Sulpice de Paris, seigneur et propriétaire de l'île de Montréal, à Jean Lacomble », 6 avr. 1707, notaire N. Senet dit Laliberté.

  • Ibid., « Vente de terre située à la côte St Leonard; par Jean Lacomble et Marie Millet, son épouse, de la Pointe au Tremble en l'île de Montreal, à Jacques Lebaye dit Lafleur, de la côte St Leonard en l'île de Montréal », 5 mai 1709, notaire N. Senet dit Laliberté.

  • Ibid., « Vente de terre située à la côte St Leonard; par Laurent Archambault, de la Pointe au Tramble dans l'île de Montreal, à Jean Lacomble, de la côte St Leonard en l'île de Montréal », 5 mai 1709, notaire N. Senet dit Laliberté.

  • Ibid., « Vente d'un emplacement situé dans le bourg de la Pointe au Tremble; par Jean Lacomble et Marie Millet, son épouse, de la Pointe au Tremble, à Joseph Senecal, maître forgeron, de la Pointe au Tremble », 18 mars 1713, notaire N. Senet dit Laliberté.

  • Ibid., « Concession de terre située à la côte St Leonnard en l'île de Montréal du côté du nord-ouest de la commune; par le Séminaire de St-Sulpice de Montréal, seigneur propriétaire de l'île de Montréal, à Jean Lacombe, de St Leonnard », 23 mai 1714, notaire P. Raimbault.

  • Ibid., « Concession d'une terre située à la côte St Leonard en l'île de Montréal; par le Séminaire de St-Sulpice de Montréal, seigneur propriétaire de l'île de Montréal, à Jean Lacombe, de St Leonard », 26 août 1716, notaire P. Raimbault.

  • Ibid., « Vente d'une terre située à la côte de St Joseph de la Riviere des Prairies en l'île de Montréal; par Jean-Baptiste Deguire dit Larose, maçon et Marie-Madeleine Coiteux, son épouse, de l'île de Montréal, à Jean Lacombe, de la côte St Leonnard en l'île de Montréal », 28 janv. 1718, notaire P. Raimbault.

  • Ibid. (https://archiv-histo.com : consulté le 5 juin 2025), « Partage d'une terre située à la Pointe au Tremble; par Jean Lacomble et Marie Millet, son épouse, de la Pointe au Tremble, entre Geneviève Lacomble, Jean Lacomble, Baptiste Lacomble, Simon Allard et Catherine Lacomble, son épouse, Pierre Archambault et Marie Lacomble, son épouse, Augustin Maguet et Madeleine Lacomble, son épouse, Louis Baudry et Marguerite Lacomble, son épouse, Joseph Lacomble et Pierre Lacomble, leurs enfants et gendres », 26 juil. 1728, notaire N. Senet dit Laliberté.

  • Ibid., « Vente de parts de terre situées à la Pointe au Tremble; par Jean Lacomble, de la Rivière des Prairies, Pierre Archambault et Marie Lacomble, son épouse, de la Rivier des Presries, Simon Allard et Catherine Lacomble, son épouse, de la Rivière des Prairies, Augustin Maguet et Madeleine Lacomble, son épouse, de la Rivière des Prairies, et Louis Baudry et Marguerite Lacomble, son épouse, de la rivière de Lassomption, à Baptiste Lacomble, leur frère et beau-frère », 26 juil. 1728, notaire N. Senet dit Laliberté.

  • Ibid. « Vente de droits sur une terre située à la rivière du Richelieu; par Marie Millet, veuve de Jean Lacomble, de la Pointe aux Trembles, à Antoine Codér, de la rivière du Richelieux », 26 mars 1748, notaire F. Comparet.

  • Ibid., « Donation de sommes d'argent; par Marie Millet, veuve de Jean Lacomble, de la Pointe aux Trembles, à Jean-Baptiste Lacomble et Madeleine Vaine, son épouse, de la Pointe aux Trembles, et Pierre Lacomble et Catherine Galipaux, son épouse, de la Pointe aux Trembles, ses enfants et brus », 27 mars 1748, notaire F. Comparet.

  • Université de Montréal, base de données du Programme de recherche en démographie historique (PRDH) (https://www-prdh-igd.com/Membership/fr/PRDH/Individu/45843 : consulté le 5 juin 2025), entrée du dictionnaire pour Jean Baptiste Lacombe, personne 45843.

  • Ibid. (https://www-prdh-igd.com/Membership/fr/PRDH/Famille/4734 : consulté le 5 juin 2025), entrée du dictionnaire pour Jean Baptiste LACOMBE et Marie Charlotte MILLET, union 4734.