Jacques Lussier & Catherine Clérice
Découvrez l’histoire de Jacques Lussier et Catherine Clérice, un couple pionnier de la Nouvelle-France établi à Varennes au XVIIe siècle. De leurs origines parisiennes à leur rôle dans le peuplement de la vallée du Saint-Laurent, suivez le parcours des ancêtres de tous les Lussier d’Amérique du Nord.
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Jacques Lussier & Catherine Clérice
De Paris à Varennes : parcours d’un couple fondateur
Localisation de Paris en France (Mapcarta)
Jacques Lussier (ou Lhuissier), fils de Jacques Lussier (ou Lhuissier) et de Marguerite Darmine, naît vers 1646 dans la paroisse Saint-Eustache à Paris, en France.
[Le nom de famille de Jacques apparaît sous diverses formes phonétiques dans les documents généalogiques : Lussyé, Lhuyssier, Lhuyssié, Lhuissier, Lhussier, Luissier, Lucier, etc.]
Paroisse Saint-Eustache
La paroisse Saint-Eustache trouve son origine dans une modeste chapelle construite en 1213 près de l’enceinte de Philippe Auguste. Devenue paroissiale après avoir reçu des reliques de saint Eustache, elle s’est agrandie au fil des siècles avec la croissance de la population du quartier. La première pierre de l’église actuelle est posée en 1532 sous François Ier. Malgré une construction étalée sur plus d’un siècle, l’édifice impressionne par son unité architecturale. Il est consacré en 1637. Bien qu’elle ait subi des dommages au moment de la Révolution française, l’église est demeurée un repère architectural majeur et a bénéficié de grandes campagnes de restauration aux XIXe et XXe siècles.
Église Saint-Eustache, dessin du XVIIIe siècle (Bibliothèque nationale de France)
Carte du quartier Saint-Eustache à Paris, XVIIIe siècle (Bibliothèque nationale de France)
Arrivée en Nouvelle-France
Selon l’abbé Pierre-Eucher Théorêt, Jacques accepte un engagement de trois ans auprès de Pierre Boucher à Paris dans les années 1660. Boucher, gouverneur de Trois-Rivières de 1653 à 1667, s’établit par la suite dans la seigneurie des Îles Percées (plus tard appelée Boucherville). Des chercheurs supposent que Jacques suit son ancien employeur en Nouvelle-France, où il arrive vers 1666 pour un second contrat de trois ans. Il apparaît pour la première fois dans les registres canadiens en 1669, alors qu’il serait libre de se marier.
Premières noces avec une Fille du roi
Le 22 septembre 1669, le notaire Romain Becquet rédige un contrat de mariage entre Jacques et la Fille du roi Charlotte Lamarche, elle aussi originaire de Paris. Jacques, âgé d’environ 23 ans, est décrit comme habitant à Boucherville. Le contrat suit les règles de la Coutume de Paris. Le douaire préfix — la part de biens réservée à l’épouse si elle survit à son mari — est fixé à 300 livres. Charlotte apporte des biens d’une valeur équivalente, en plus du don du roi de 50 livres.
La Coutume de Paris régit la transmission des biens familiaux en Nouvelle-France. Qu’il y ait ou non un contrat de mariage, un couple est soumis à la « communauté de biens », c’est-à-dire que tous les biens acquis pendant le mariage font partie de la communauté. Au décès des parents, les biens de la communauté sont partagés à parts égales entre tous les enfants, qu’ils soient fils ou filles. Si l’un des conjoints décède, le conjoint survivant conserve la moitié des biens de la communauté, tandis que l’autre moitié est partagée entre les enfants. Au décès du conjoint survivant, sa part est également répartie à parts égales entre les enfants. Des inventaires étaient dressés après le décès afin de répertorier tous les biens de la communauté.
Jacques et Charlotte se marient le 30 septembre 1669 à l’église Notre-Dame de Québec. Leurs témoins sont leurs compatriotes parisiens Jean Lerouge (maçon) et Toussaint Dubaut (cordonnier), ainsi qu’Adrien Michelon.
Le 13 juillet 1670, Jacques engage Jacques Ménard dit Lafontaine pour construire une maison de vingt pieds de long par seize de large, avec quatre fenêtres et une cheminée. Jacques fournit les matériaux, et Ménard s’engage à terminer les travaux dans un délai de cinq semaines.
Jacques et Charlotte s’installent à Varennes. Ils n’ont qu’un seul enfant, Marie, avant que Charlotte ne meure en février 1671 des suites de l’accouchement.
Catherine Clérice, fille de Pierre Clérice et de Marie Lefebvre, naît vers 1653 dans la paroisse Saint-Sulpice à Paris, en France.
Paroisse Saint-Sulpice
À l’origine simple église rurale rattachée à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, Saint-Sulpice devient une paroisse importante à mesure que le faubourg Saint-Germain s’urbanise au XVIIe siècle. Dès 1642, Jean-Jacques Olier, figure majeure de la Contre-Réforme, y lance la construction d’une nouvelle église, vaste et lumineuse, en accord avec les idéaux spirituels de son temps. La première pierre est posée en 1646 par la régente Anne d’Autriche et le jeune Louis XIV. L’église, conçue dans un style classique sobre et monumental, devient au fil du temps la plus vaste église de Paris, marquée par une grande cohérence architecturale malgré les travaux étalés sur plus d’un siècle.
Consacrée en 1745, Saint-Sulpice joue un rôle important dans la vie religieuse et intellectuelle du quartier. Elle abrite un célèbre orgue Cavaillé-Coll, un gnomon astronomique du XVIIIe siècle, et des fresques majeures, notamment celles de Delacroix. Malgré les profanations de la Révolution française, l’église a retrouvé sa grandeur au XIXe siècle grâce à de nombreuses restaurations. Elle demeure aujourd’hui un symbole du classicisme religieux français, profondément lié à l’histoire spirituelle de Paris.
Église Saint-Sulpice, dessin du XVIIIe siècle de Jean Baptiste Lallemand (Bibliothèque nationale de France)
Fille du roi, Catherine quitte son pays en 1671 et s’embarque pour la Nouvelle-France.
« L’arrivée des Françaises à Québec », aquarelle de Charles W. Jefferys (Wikimedia Commons)
Mariage et famille
Le 11 octobre 1671, le notaire Romain Becquet rédige un contrat de mariage entre Jacques et Catherine, dans la maison d’Anne Gasnier à Québec. Jacques est âgé d’environ 25 ans, Catherine d’environ 18. Le contrat suit les règles de la Coutume de Paris. Le douaire préfix est fixé à 200 livres. Catherine apporte des biens d’une valeur équivalente, ainsi que le don du roi de 50 livres. Les futurs époux ne savent pas signer le contrat.
Jacques et Catherine se marient le 12 octobre 1671 à la paroisse Notre-Dame de Québec. Le marié est inscrit comme résident de Boucherville. Les témoins sont Toussaint Dubaut, Louis Denys et René Dumast.
Mariage de Jacques Lussier et Catherine Clérice en 1671 (Généalogie Québec)
Le couple s’installe à Varennes et a au moins douze enfants :
[anonyme] (1672–1672)
Christophe (1673–1752)
Pierre (1675–1720)
Catherine (1677–1719)
Jacques (1678–1744)
François (1680–1680)
Marie Madeleine (1681–1759)
Marie Marguerite (1683–1748)
Jean Baptiste Isaac (1685–1708)
Jean (1687–1687)
Marie Louise (1689–1764)
Marie Jeanne (1692–1749)
La vie à Varennes
Après son second mariage, le nom de Jacques figure dans plusieurs actes rédigés par le notaire Thomas Frérot de Lachesnaye :
24 mars 1671 : Jacques, qui réside « sur la terre de Monsieur de Varennes », embauche un certain Jean Pierre pour deux mois de travail non précisé ; il lui verse dix-huit minots de blé après la récolte. [Un minot est une mesure de capacité utilisée jadis pour les matières sèches (graines et farine) et qui contenait la moitié d’une mine. Une mine correspond à environ 78,73 litres.]
15 mai 1672 : Jacques conclut un accord avec le charpentier Pierre Chaperon, lequel s’engage à lui fournir quatre jours de labour avec ses bœufs et cinq livres de beurre, à condition que la famille Lussier passe le mois de juin à sarcler son grand champ de blé d’Inde.
3 décembre 1674 : Jacques loue une vache de Pierre Chaperon.
8 septembre 1675 : Jacques vend un lot de soixante arpents carrés dans la seigneurie de Tremblay à Étienne Charles dit Lajeunesse, moyennant un paiement annuel de quinze minots de blé et trois minots de pois pendant dix ans.
Jacques et Catherine figurent au recensement de 1681 de la Nouvelle-France. Ils vivent à Varennes avec leurs cinq enfants. Ils possèdent neuf arpents de terre « en valeur » (défrichée ou cultivée), cinq bêtes à cornes et aucun fusil.
Recensement de 1681 pour la famille « Lhuissier » (Bibliothèque et Archives Canada)
La famille Lussier cultive le blé. Le 24 mai 1688, Jacques remet à Étienne Charles dit Lajeunesse une quittance pour cent cinquante minots de blé qu’il lui vend. L’acte le qualifie d’habitant et de capitaine de milice sur la côte du Cap-de-Varennes. Le titre de capitaine de milice figure également sur le contrat de mariage de sa fille Catherine en 1690.
Image d’intelligence artificielle créée par l’auteure avec ChatGPT (juin 2025)
Le 9 février 1689, le seigneur René Gauthier de Varennes lui cède, pour six cents livres, une terre avec habitation dans la seigneurie de Varennes, mesurant deux arpents de front sur [trente ?] d’arpents de profondeur. Jacques s’engage à verser une rente de trois livres, trois chapons vifs et quatre journées de corvée par an.
Le 20 mai 1690, le notaire Michel Moreau rédige un accord entre Jacques et Jean Gautier, habitants de Varennes, et la seigneuresse de Varennes, Marie Boucher. Celle-ci accepte de leur louer une petite île de la seigneurie pour y pratiquer l’agriculture, en échange de 120 livres.
Quelques années plus tard, le 3 novembre 1692, un autre acte notarié est enregistré par Antoine Adhémar de Saint-Martin, concernant un différend entre les habitants du fort du Cap de Varennes au sujet de l’emplacement que chacun possède à l’intérieur du fort. Les habitants s’engagent à « défricher, nettoyer et ensemencer » leurs lots. Ils promettent aussi d’aider Louis Ledoux et Julien Guillou de Lamour à faire de même, à condition que ces derniers fournissent les semences. Après trois ans, Ledoux et Guillou deviendront propriétaires des terres, et les autres habitants, y compris Jacques, seront libérés de toute obligation.
Jacques continue de cultiver et de vendre du blé. Le 15 janvier 1694, il accepte de livrer 64 minots de blé à Jean Brunet dit Lasablonnière, dans la seigneurie de Longueuil, au prix de 3 livres et 15 sols le minot.
Plus tard la même année, le 7 juillet, Jacques et deux autres habitants du Cap de Varennes, Paul Petit et Jacques Chauvin, louent de Marie Boucher une île appelée Grand Isle au Foin, située dans la seigneurie de Varennes, à des fins agricoles. Le bail comprend également des droits de chasse et de pêche autour de l’île. Les hommes s’engagent à verser à la seigneuresse 150 livres par an.
Jacques est un agriculteur prospère. Grâce à ses revenus, il est en mesure de prêter de l’argent à ses compatriotes :
Le 12 mai 1697, il prête 400 livres à Jean Ménard dit Bellerose.
Le 27 mai 1697, il prête 400 livres à Jean Petit dit Boismorel.
Le 24 janvier 1699, il prête 450 livres à sa fille Catherine et à son gendre Jacques David.
Le 4 décembre 1709, il prête 200 livres à René Gauthier.
Le 6 juin 1707, Jacques reçoit de François Desjordy, seigneur des Îles Bouchard, la concession d’une île située « au-dessus de l’île Marie ». Elle comprend 102 arpents et demi. Jacques s’engage à payer [un ?] sol de cens, 102 sols et six deniers de rente, ainsi que cinq chapons (ou 30 sols chacun) par an.
Le 9 janvier 1712, Jacques reçoit de Marie Perrot une autre concession dans la seigneurie de Verchères. Cette terre mesure trois arpents de front sur 30 arpents de profondeur, soit 90 arpents au total.
Mort accidentelle de Jacques Lussier
Vers l’automne 1712, Jacques Lussier se noie dans le fleuve Saint-Laurent. Son corps est retrouvé à Sorel. Le 12 juin 1713, il est inhumé dans le cimetière paroissial Saint-Pierre de Sorel. Son fils Christophe et son gendre Antoine Foisy assistent à l’enterrement.
Sépulture de Jacques Lussier en 1713 (Généalogie Québec)
Comme il est d’usage après le décès d’un parent, une élection de tutelle est organisée pour les enfants mineurs Lussier. Leur mère, Catherine, est nommée tutrice, tandis que Paul Laporte (époux de feu Marie Lussier, fille de Jacques et de sa première épouse Charlotte Lamarche) est nommé subrogé tuteur. Par la même occasion, Catherine transmet à ses enfants la terre des Îles Bouchard, incluant les bâtiments, le bétail et les outils agricoles. L’acte est insinué le 15 mars 1713.
Le 16 mars 1713, le notaire Antoine Adhémar dresse l’inventaire des biens de la communauté de Catherine et de son défunt mari. Ce document de dix pages énumère toutes leurs possessions, tant mobilières qu’immobilières. L’inventaire comprend les ustensiles de cuisine, la batterie de cuisine, la vaisselle, les coffres, les meubles, les vêtements, le linge et les parcelles de terre que possède Jacques. Sur la terre de Varennes, mesurant quatre arpents sur trente, se trouvent deux bœufs, quatre vaches laitières, trois veaux et trois chevaux. Le document mentionne aussi les dettes envers Jacques et ses avoirs en espèces, qui s’élèvent à 2 800 livres (l’équivalent d’environ 60 000 dollars canadiens aujourd’hui).
Deux jours plus tard, le 18 mars, la famille Lussier se réunit devant le notaire Adhémar pour procéder au partage et à la vente des biens du couple. Catherine conserve la maison familiale et tout ce qui lui est nécessaire pour sa vie quotidienne.
Décès de Catherine Clérice
Catherine Clérice meurt à l’âge d’environ 62 ans le 1er mars 1715. Elle est inhumée le lendemain dans le cimetière paroissial de Sainte-Anne à Varennes. [L’acte de sépulture indique qu’elle avait 68 ans.]
Sépulture de Catherine Clérice en 1715 (Généalogie Québec)
L’héritage Lussier
Jacques Lussier et Catherine Clérice vivent les premières décennies de la colonisation française dans la vallée du Saint-Laurent, contribuant au développement de Varennes comme cultivateurs et propriétaires fonciers. Par leur labeur et des acquisitions judicieuses, ils assurent à leur nombreuse famille une existence modeste, mais prospère. Après la noyade prématurée de Jacques en 1712, Catherine veille au transfert ordonné du patrimoine vers la génération suivante. Leur héritage perdure : aujourd’hui, toutes les personnes portant le nom Lussier en Amérique du Nord descendent de ce couple pionnier.
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Bibliographie :
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